L'apôtre du climat François : Les États doivent contraindre les citoyens
Il a réitéré son regret de ne pas pouvoir utiliser les transports publics comme il le faisait en Argentine : "Aujourd'hui, c'est l'une des habitudes qui me manque le plus (sic)". La réalité : Le Vatican dispose d'une gare et François pourrait se rendre en train à toutes ses destinations en Italie, mais il préfère les hélicoptères privés.
Une déclaration semi-intéressante est son appel à la création d'une religion d'État pour le climat. Il estime que "tout le monde" devrait "changer son mode de vie" et que les gouvernements n'ont "pas fait assez" pour promouvoir l'hystérie climatique.
"L'ensemble de la société [qui est la "société" ?] doit exercer une pression saine, car il appartient à chaque famille de penser que l'avenir de ses propres fils et filles est en jeu.
Une "saine pression" est un autre terme pour désigner la terreur d'État, une méthode utilisée par Bergoglio au Vatican.
Il est intéressant de noter que François ne mentionne jamais qu'un changement radical de style de vie est également nécessaire pour atteindre le salut éternel.
Traduction de l'IA
